• Car mon cœur, jamais fatigué
    D’être ou du moins de le paraître,
    Quoi qu’il en soit, s’efforce d’être
    Ou de paraître fol et gai.

    Mais, mieux que de chercher fortune
    Il tend, ce cœur, dur comme l’arc
    De l’Amour en plâtre du parc,
    À se détendre en l’autre et l’une

    Et les autres : des cibles qu’on
    Perçoit aux ventres des nuages
    Noirs...