Hélas, si j’avais su, lorsque ma voix qui prêche
T’ennuyait de leçons, que, sur toi, rose et fraîche,
Le noir oiseau des morts planait inaperçu
Que la fièvre guettait sa proie, et que la porte
Où tu jouais hier te verrait passer morte…
Hélas ! si j’avais su !…
Je t’aurais fait, enfant, l’existence bien douce ;
Sous chacun de tes pas j’aurais mis de...