• Triste à ma cellule,
    Quand la nuit s'abat,
    Je n'ai de pendule
    Que mon coeur qui bat ;
    Si l'ombre changeante
    Noircit mon séjour,
    Quelque atome chante,
    Qui m'apprend le jour.

    Dans ma cheminée,
    Un grillon fervent
    Faisant sa tournée
    Jette un cri vivant :
    C'est à moi qu'il livre
    Son fin carillon,
    Tout charmé de vivre
    ...