Je suis t'un pauvre conscrit
De l'An Mil huit cent di'
bis
Faut quitter le Languedô,
Le Languedô, le Languedô,
Oh !
Faut quitter le Languedô
Avec le sac sur le dos[1]

...
Poet: Anonyme

 
Quand les conscrits partiront
Toutes les filles pleureront,
bis
Pleureront de leurs amants,
De leurs amants, de leurs amants,
Pleureront de leurs amants
Qui s'en vont au régiment.

Filles, il ne faut pas pleurer,
Ce n'est pas ma faute à moé...

Poet: Anonyme