C’était, dans la campagne émerveillée, un coin,
Où la prairie au clair brillait comme un visage,
Où deux grands étangs bleus s’arrondissaient au loin,
Comme un double baiser du ciel au paysage.
Sur les mousses de vair et les pierrailles d’or,
Les eaux, telles des pleurs d’aube s’égouttaient blanches ;
L’éclair d’un vol d’oiseaux frôlait...