Paul Verlaine Fecit
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui...
Paul Verlaine Fecit Obscur et froncé comme un œillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse |
La Gueule parle : « L’or, et puis encore l’or,
La Panse dit : « À moi la chute du trésor ! |
Le « sort » fantasque qui me gâte à sa manière — |
Dansons la gigue ! J’aimais surtout ses jolis yeux, ... |
Les petits ifs du cimetière Avec des bruits sourds qui font mal, Silencieux comme les fleuves, |
Seul bijou de ma pauvreté. Parmi ces paysans cafards |
Eh quoi ! dans cette ville d’eaux,
L’aigle t’emporte, on dirait comme ... |
L'apprenti point trop maigrelet, quinze ans, pas beau, |
Ces vrais vivants qui sont les saints, |
Toutes les amours de la terre La mort prend ton père... |