Rocs de désespoir immensément tordus
Vers le ciel lourd, voici les consolants hivers
Et la fraîche blancheur et les brouillards pendus
Aux bras, pitié ! pitié ! de vos mélèzes verts ;
Voici le grand silence et la neige du soir.
Voix de granit, combats d’ombre, fiertés de pierre,
Vieux tonnerres figés des époques occultes,
Que le soleil irrite et mord...