SOUS les premiers soleils qui déchirent la nue
L’air plus doux s’allanguit de parfums hésitants.
Ô mon unique amour, que ne t’ai-je connue
Sur le seuil embaumé d’un éternel printemps !

L’air plus doux s’allanguit de parfums hésitants :
Déjà l’âme des fleurs...