• Taisez-vous, ô mon cœur ! taisez-vous, ô mon âme !
    Et n’allez plus chercher de querelles au sort ;
    Le néant vous appelle et l’oubli vous réclame.

    Mon cœur, ne battez plus, puisque vous êtes mort ;
    Mon âme, repliez le reste de vos ailes,
    Car vous avez tenté votre suprême effort.

    Vos deux linceuls sont prêts, et vos fosses jumelles
    Ouvrent leur bouche...