LE POÈTE
O naturel en ton sein où l’ennui me ramène,
Je sens une âme triste ainsi que l’âme humaine ;
Tu gémis : c’est pourquoi je t’apporte mon cœur.
Toi, du moins, tu n’as pas de sourire moqueur,
Jamais ton doux regard ne lance l’ironie,
Et ton front porte haut sa tristesse infinie.
L’homme croit se guérir s’il peut cacher son mal ;
La...