Tout meurt, pour rajeunir, hormis
le cœur de l’homme.
Quel deuil mystérieux plane sur ces montagnes
Où ma Muse, encor jeune, aimait tant à bondir
Parmi les rocs penchés, qui, du fond des campagnes,
Paraissent des géants prêts à les envahir ;
A suivre, pas à pas, la trace des ruines
Dont l’histoire funèbre allait se...