. . . Ah ! quanto a ricordarlo è duro !
TASSO
Hélas ! que le souvenir en est pénible encore !
L’éclair luit, le tonnerre gronde !
Le voile d’une nuit profonde
S’étend sur la face des cieux.
D’où vient qu’en mon âme oppressée
S’agite l’image effacée
De jours déjà loin de nies yeux ?
Ces jours, où la terre...