Ces nymphes, je les veux perpétuer.
Leur incarnat léger, qu’...
LE FAVNE
Ces nymphes, je les veux perpétuer.
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De l’éternel Azur la sereine ironie Fuyant, les yeux fermés, je la sens qui regarde |
Hyperbole ! de ma mémoire Car j’installe, par la science, Nous promenions... |
Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur, |
Le soleil, sur le sable, ô lutteuse endormie, De ce blanc Flamboiement l’immuable accalmie |
Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos, Coure le froid avec ses silences de faulx, |
M’introduire dans ton histoire À des glaciers attentatoire Dis si je ne suis pas... |
Quelle soie aux baumes de temps Les trous de drapeaux méditants Non... |
Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx, Sur les crédences, au salon vide : nul ptyx, |
Surgi de la croupe et du bond Je crois bien que deux bouches n’ont Le pur... |