• Ceux qui de Rabelais font un vieux faune ivrogne
    Sont des sots. Il n’avait pas le nez purpurin ;
    C’était un philosophe, un Caton Censorin ;
    Il avait un visage et non pas une trogne.

    Son siècle était perdu de vermine et de rogne,
    Et, pour le fustiger avec le fouet d’airain
    De son rire sonore, amer et souverain,
    Ce fut au satirique une rude...