• Oh ! tes si douces mains et leur lente caresse
    Se nouant à mon cou et glissant sur mon torse
    Quand je te dis, au soir tombant, combien ma force
    S'alourdit, jour à jour, du plomb de ma faiblesse !

    Tu ne veux pas que je devienne ombre et ruine
    Comme ceux qui s'en vont du côté des ténèbres,
    Fût-ce avec un laurier entre leurs mains funèbres
    Et la gloire...