C’est un bazar, au bout des faubourgs rouges :
Étalages bondés, éventaires ventrus.
Tumulte et cris brandis, gestes bourrus et crus,
Et lettres d’or, qui soudain bougent,
En torsades, sur la façade.
Chaque matin, on vend, en ce bazar,
Parmi...
C’est un bazar, au bout des faubourgs rouges : Chaque matin, on vend, en ce bazar, |
J'habite la montagne et j'aime à la vallée. |
C'est un bazar, au bout des faubourgs rouges : |