• J'aime le verd laurier, dont l'hyver ny la glace
    N'effacent la verdeur en tout victorieuse,
    Monstrant l'eternité à jamais bien heureuse
    Que le temps, ny la mort ne change ny efface.

    J'aime du hous aussi la toujours verte face,
    Les poignans eguillons de sa fueille espineuse :
    J'aime la lierre aussi, et sa branche amoureuse
    Qui le chesne ou le mur...