Le corps pâle brûlé au bûcher domestique,
Content de l'Achéron en sa chère moitié,
Vécut, mourut, brûla, ô cendres d'amitié,
Puisse naître de vous le cher oiseau unique !
Soyez donc arrousés du doux nectar lybique, 
Heureux qui êtes morts premier que l'amitié 
Qui lia vos deux coeurs eût pris fin. Ô pitié, 
Je n'en suis pas ainsi vers cette fantastique...