Vois, par-dessus la haie où chantent les fauvettes,
Dans le foin verdoyant aux teintes violettes,
Cachés jusqu’aux genoux et montant de là-bas,
Les faucheurs, alignés, marchant du même pas.
En cercle, à côté d’eux, frappent les faux tournantes :
Le fer siffle en rasant les tiges frissonnantes,
Et, dans le vert sillon tracé par les râteaux,
L’...