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    Pour consoler mes yeux du tableau plein d’ennui
    Que nous offrent les gens et les temps d’aujourd’hui,
    Je remonte parfois au passé si prospère,
    Et je songe souvent, Émile, à votre père.
    Parmi nous, jeunes gens, je crois le voir encor
    Ainsi qu’au camp des Grecs jadis le vieux Nestor,
    Voila bien son air noble, et sa tête blanchie
    Aux travaux de l’...