Allah ! qui me rendra ma formidable armée ?...
Victor Hugo, La Bataille perdue.
Aux champs de la Tauride, il est une colline
D'où l'oeil voit, en suivant la route qui s'incline,
Sébastopol la forte, assise à l'horizon.
La noble ville est là, triste, silencieuse;
Des soldats d'Occident la main victorieuse
En un jour...