Le voilà, ce vieux môle où j'errai si souvent !
Ainsi grondaient alors les rafales du vent,
Quand aux pâles clartés des fanaux de la Hève
Si tristes à minuit,
Le flux, en s'abattant pour envahir la grève,
Blanchissait dans la nuit.
Au souffle du matin qui déchirait la brume,
Ainsi sur mes cheveux volait la fraîche écume ;
Et quand à leur...