• Vous ne reverrez plus les monts, les bois, la terre,
    Beaux yeux de mes soldats qui n’aviez que vingt ans
    Et qui êtes tombés, en ce dernier printemps,
    Où plus que jamais douce apparut la lumière.

    On n’osait plus songer au réveil des champs d’or
    Que l’aube revêtait de sa gloire irisée ;
    La guerre occupait tout de sa sombre pensée
    Quand au fond des...