Ja le matin, qui l'univers redore,
De franges d'or et de perles s'ornoit,
Et doucement tout en roses tournoit
Le char serein de l'Indienne aurore.
Las ! le souci qui sans fin me devore
Aucun espoir de paix ne me donnoit :
Plutôt le jour alors me ramenoit
Mille tormens, et mille mors encore,
Quand derrier' moi, au bout d'un gai preau,...