O philosophe, ô solitaire
Sur la montagne retiré,
Qui répands de là sur la terre
La chaleur d’un cœur inspiré !
Quand je m’assois dans ces retraites
Pleines de générations,
Où tu ranges sur deux tablettes
La sagesse des nations,
Dans ces catacombes des âges,
En un volume reliés,
Quand je vois dans deux ou trois pages
...