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        Oh ! que la vie est longue aux longs jours de l’été,
    Et que le temps y pèse à mon cœur attristé !
    Lorsque midi surtout a versé sa lumière,
    Que ce n’est que chaleur et soleil et poussière ;
    Quand il n’est plus matin et que j’attends le soir,
    Vers trois heures, souvent, j’aime à vous aller voir ;
    Et là vous trouvant seule, ô mère et chaste épouse...