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    C’est le grand réservoir où toute vie abonde,
    Le verdoyant congrès des arbustes du monde,
    Où tout homme qui rêve à son pays absent
    Retrouve ses parfums et son air caressant.
    (BARTHÉLEMY et MÉRY.)

    Quand un voile brumeux enveloppe Lutèce,
    Quand mon front obscurci s’incline de tristesse,
    Comme un arbuste frêle où soupire le vent,...