• L’âme du Téméraire était une forêt
    Pleine d’arbres géants et de fourrés secrets
    Où se croisaient de grands chemins tracés sans règles ;
    Mais par dessus volaient, jusqu’au soleil, les aigles.

    L’impatience éperonnait sa volonté ;
    Il fermentait d’orgueil et d’intrépidité.
    Le monde, il l’eût voulu tailler, à coups de glaive,
    D’après l’image en or que lui...