De quel soleil, Diane, empruntes-tu tes traits,
La flamme, la clarté de ta face divine ?
Le haut Amour, grand feu du monde où il domine,
Luit sur toi, puis sur nous luire ainsi tu te fais.
Pour toi les beaux pensers, les paroles, les faits
Il crée en nous par toi, ni jamais trop voisine
Ne voile son beau feu, qui sans fin enlumine
Nos coeurs,...