• A André Rivaudeau, gentilhomme poitevin


    Le chaut qu'on sent au plus fort de l'Esté
    Ne nous rend tant la fraicheur agreable,
    Et des forests l'epaisseur delectable
    N'a onc si bien le passant arresté,

    Et a celluy qui se treuve endetté
    L'or ne plait tant, ny au captif coupable
    Remission d'un peché punissable,
    Ni à un serf la douce...