• I

    « C’est trop longtemps errer ! Par ces champs, par ces bois,
    Par ces monts, où toi seule, ô Diane ! me vois,
    C’est marcher trop longtemps, appesanti par l’âge.
    A quoi me sert d’ailleurs cet éternel voyage ?
    Que sert de visiter sans cesse d’autres lieux,
    A qui porte la nuit dans le pli de ses yeux ?
    ...