À Jocelyn Bargoin.
En mai, par une pure et chaude après-midi,
Je cheminais au bord d doux fleuve attiédi
Où se réfléchissait la fuite d’un nuage.
Je suivais lentement le chemin de halage
Tout en fleurs, qui descend en pente vers les eaux.
Des peupliers à droite, à gauche des roseaux ;
Devant moi, les détours de la...