Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur,
Un automne jonché de taches de rousseur,
Et vers le ciel errant de ton œil angélique
Monte, comme dans un jardin mélancolique,
Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’azur !
— Vers l’azur attendri d’Octobre pâle et pur...
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— « Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre, |
Surgi de la croupe et du bond Je crois bien que deux bouches n’ont |
Surgi de la croupe et du bond Je crois bien que deux bouches n’ont Le pur... |
Ô de notre bonheur, toi, le fatal emblème ! Salut de la démence et libation blême, |
Ô de notre bonheur, toi, le fatal emblème !
Salut de la démence et libation blême, |
Tel qu’en Lui-même enfin l’éternité le change, Eux, comme un vil sursaut d’hydre oyant jadis l’ange |
Tel qu’en lui-même enfin l’éternité le change, Eux, comme un vil sursaut d’hydre oyant jadis l’ange |
Le temple enseveli divulgue par la bouche Ou que le gaz récent torde la mèche louche |
Le noir roc courroucé que la bise le roule Ici presque toujours si le ramier roucoule |