La foule de Paris à présent m’importune,
Les Ans m’ont détrompé des maneges de Cour ;
Je vois bien que j’y suis dupe de la Fortune,
Autant que je le fus autrefois de l’Amour.
Je rends graces au Ciel que l’esprit de retraite
Me presse chaque jour d’aller bientôt chercher
Celle que mes Aïeux plus sages s’étoient faite,
D’où mes folles Erreurs avoient...