À OGIER D’IVRY
AVEC ses grands yeux noirs et sa bouche de mûre,
Et de ses lourds cheveux la nocturne toison,
Elle a mis dans mon cœur l’effroyable poison
Dont on aime à souffrir malgré qu’on en murmure.
Astre pâle qu’on voit à travers la ramure
D’un seul rayon, sa flamme a fondu ma raison.
O Femme épanouie en pleine floraison...