• Autrefois, quand l'essaim fougueux des premiers rêves
    Sortait en tourbillons de mon coeur transporté ;
    Quand je restais couché sur le sable des grèves,
    La face vers le ciel et vers la liberté ;

    Quand, chargé du parfum des hautes solitudes,
    Le vent frais de la nuit passait dans l'air dormant,
    Tandis qu'avec lenteur, versant ses flots moins rudes,
    La...