Je marchais ébloui par le matin vermeil ;
Le fourmillement d’or de la mer au soleil
Aveuglait mes regards ; et je me sentais l’âme
Près d’elle s’alanguir à ses soupirs de femme.
Les flots étincelaient parfois comme des yeux.
Des troupes d’oiseaux blancs...

Poet: Jean Lahor

En ce matin où la douceur est telle
Qui se répand par les bois et les champs
Qu’il n’y a rien d’ineffable comme elle,
Dites-moi si vous croyez aux méchants.

Oui, je ne sais pourquoi me vient ce rêve ;
Mais, n’est...