J'ai passé mon printemps, mon été, mon automne ;
Voici le triste hiver qui vient finir mes voeux ;
Déjà de mille vents le cerveau me bouillonne ;
J'ai la face ridée et la neige aux cheveux.

D'un pas douteux et lent, à trois pieds je chemine,
Appuyant d'un bâton...