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    Pourquoi donc, matrônes austères,
    Vous alarmer de mes accens ?
    Vous, jeunes filles trop sévères,
    Pourquoi redoutez-vous mes chants ?
    Ai-je peint les enlèvemens,
    Des passions les noirs ravages,
    Et ces impétueux orages
    Qui naissent aux coeurs des amans ?
    Je célèbre des jeux paisibles,
    Qu’envain on semble mépriser,
    Les vrais bien...