• Il existe un oiseau, dont le pâle plumage,
    Des forêts du tropique étonne la gaieté ;
    Seul sur son arbre en deuil, les pleurs de son ramage
    Font gémir de la nuit le silence attristé.

    Le choeur ailé des airs, loin de lui rendre hommage,
    Insulte, en le fuyant, à sa fatalité ;
    Lui-même se fuirait, en voyant son image
    Poignardé de naissance, il naît...