Bien au delà des Jours, des Ans multipliés,
Du vertige des Temps dont la fuite est sans trêve,
Voici ce que j’ai vu, dans l’immuable rêve
Qui me hante...
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Quand le Bédouin qui va de l’Horeb en Syrie, Revoit-il, faisant trêve aux ardentes fatigues, |
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Il est un jour, une heure, où dans le chemin rude,
La vie a fatigué son attente inféconde ; |
Il est un jour, une heure, où dans le chemin rude, |
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