Ta demeure est au bord des océans antiques,
Maître ! Les grandes Eaux lavent tes pieds mystiques.
Sur ta face divine et ton dos écumant
L’abîme...
Ta demeure est au bord des océans antiques, Sur ta face divine et ton dos écumant |
O chevrier ! ce bois est cher aux Piérides. |
Ai-je dormi ? quel songe horrible m’a hanté ? |
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Loin du Cap de Penn’hor, où hurlait la mêlée |
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Aux pentes du coteau, sous les roches moussues, |
Ô jeune Thyoné, vierge de l’Isménus, Ah ! si les dieux jaloux, vierge, n’ont pas formé |
Toi par qui j’ai senti, pour des heures trop brèves, Et vous qui me rendiez le matin de mes jours, |