• Tu voyais sous tes pas un gouffre se creuser
    Qu'élargissaient sans fin le doute et l'ironie ;
    Et, penché sur cette ombre, en ta longue insomnie,
    Tu sentais un frisson mortel te traverser.

    A l'abîme vorace, alors, sans balancer,
    Tu jetas ton grand coeur brisé, ta chair punie.
    Tu jetas ta raison, ta gloire et ton génie,
    Et la douceur de vivre et l'...