• Triste de quelque amour perdu,
    Rêvant aux délices passées,
    J’étais sur la terre étendu
    Parmi les bruyères froissées.

    L’ombre, en vibrant, montait dans l’air,
    Des arbres profonds vers la nue,
    Et la lune, au bord du ciel clair,
    Découvrait son épaule nue.

    Comme s’accroissait mon émoi
    De l’émoi fraternel des choses,
    Un rossignol, tout...