D'où me vient, ô mon Dieu ! cette paix qui m'inonde ?
D'où me vient cette foi dont mon cœur surabonde ?
A moi qui tout à l'heure incertain, agité,
Et sur les flots du doute à tout vent ballotté,
Cherchais le bien, le vrai, dans les rêves des sages,
Et la paix dans...
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Toi seule, oh ! rien que toi ! soit que d'un blanc nuage... |
Le temple de Sion était dans le silence ; |
Naples, 1822. |
Quand mon regard se plonge au rayonnant abîme,... |
Toi que j’ai recueilli sur sa bouche expirante Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j’adore, |
Loi sainte et mystérieuse ! |
Oh ! qui me prêtera le regard de l'aurore, |
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