Au fond du parc, dans une ombre indécise,
Il est un banc solitaire et moussu
Où l’on croit voir la Rêverie assise,
Triste et songeant à quelque amour déçu.
Le Souvenir dans les arbres murmure,
Se racontant les bonheurs expiés ;
Et comme un pleur, de la grêle...