Au pays de mon père on voit des bois sans nombre,
Là des loups font parfois luire leurs yeux dans l’ombre
Et la myrtile est noire au pied du chêne vert.
Noire de profondeur, sur l’étang découvert,
Sous la bise soufflant balsamiquement dure
L’eau saute à petits flots...
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Dans l’aurore s’éplore un octobre des pierres. Sombres... |
Briques et tuiles, |
Quelques vieilles cités déclinantes et seules, |
L'air est trois fois léger. Sous le ciel trois fois pur, |