• Vous n’avez pas eu toute patience,
    Cela se comprend par malheur, de reste ;
    Vous êtes si jeune ! Et l’insouciance,
    C’est le lot amer de l’âge céleste !

    Vous n’avez pas eu toute la douceur,
    Cela par malheur d’ailleurs se comprend ;
    Vous êtes si jeune, ô ma froide sœur,
    Que votre cœur doit être indifférent !

    Aussi, me voici plein de pardons...