• Ni les douces langueurs des flùtes et des lyres,
    Ni les parfums mourants des vagues encensoirs
    En cadence envolés dans le calme des soirs,
    Ni les bras frais et nus ni les savants sourires

    Ne peuvent rallumer le feu des vains espoirs
    En mon coeur et, lassé d'amours et de délires
    Factices, blond éphèbe effroi des hétaïres
    Jalouses, j'ai posé mon front...