• À travers la forêt de folles arabesques
    Que le doigt du sommeil trace au mur de mes nuits,
    Je vis, comme l’on voit les Fortunes des fresques,
    Un jeune homme penché sur la bouche d’un puits.

    Il jetait, par grands tas, dans cette gueule noire
    Perles et diamants, rubis et sequins d’or,
    Pour faire arriver l’eau jusqu’à sa lèvre, et boire ;
    Mais le flot...